DevOps et l’infrastructure as code par l’exemple

L’infrastructure as code fait partie intégrante du DevOps. C’est en approfondissant mes recherches sur ce dernier que je suis tombé sur ce très bon article qui décrit de manière très simple comment décrire son architecture en écrivant ses fichiers de conf.

L’auteur y parle de Terraform, l’outil n°1 pour faire de l’IaC.

J’invite d’ailleurs à parcourir par la suite le reste du blog qui est très bon et très facile à lire sur tout ce qui est dév avec divers conseils ou retours d’expérience.

La communication asynchrone au travail

Un article intéressant et complexe pour être repris sans le paraphraser en entier, un rapport sur la communication asynchrone au travail repris sur developpez.com.

Pour faire simple on y parle de communication par e-mail, et d’organisation du travail pour éviter les distractions afin d’être plus productif. Le téléphone, le chat, les réunions sont autant de facteurs qui interrompent l’activité et engendrent une baisse de productivité.
A lire et à méditer.

Vivre et survivre en tant qu’indépendant

Etre à son compte est un pur bonheur. Tu es ton patron, tu gères comme tu l’entends, tu suis ta vision. Mais cela ne va pas sans dire qu’on est en roue libre totale. Il faut de la motivation, du sérieux, de la rigueur. Mais cela passe aussi par quelques règles et principes que developpez.com a repris dans 2 articles intéressants.

Le premier sur ses méthodes à adopter quand on travaille à domicile, à savoir avoir un endroit dédié, se fixer des horaires de travail, porter des vêtements de travail, avec la conscience d’être à la maison.
Tout cela me semblent évident. Travailler à la maison ne signifie pas qu’il faut se laisser aller.

Le second est plus sur les méthodes de business. Il faut se prendre au sérieux et il faut que ça se sente et ça dégage : facturer au forfait et pas à l’heure, être visible et connu et avoir des produits. Et tout cela a été des erreurs de débutants que j’ai connues, que je ne referai plus c’est certain, mais il n’est pas rare qu’elles soient commises en tant que novice. Alors si ça peut aider.

Bon courage à ceux qui tentent leur chance !

Bonne année 2020 !

Bonne année à tous !

J’allais écrire mon premier article de l’année quand je me suis aperçu que cela faisait plusieurs semaines voire quelques mois que je n’avais rien mis.
Ce dernier trimestre 2019 a été riche, à tous les niveaux, et donc très prisé par le fait. J’ai toujours énormément d’article en attente, de mémos, des astuces, des choses que je souhaite publier, partager, qui sont utiles et donc peuvent l’être à d’autres. Je vais donc continuer mon partage en essayant d’écouler tant que je peux ce qu’il y a dans ma liste, toujours dans la simplicité, l’efficacité et l’information.

Allez, c’est reparti, bonne lecture !

Comparaison des performances entre ionic et react native

Avant de découvrir Flutter et que Google sorte une version stable, je m’étais d’abord penché sur Ionic pour un développement mobile rapide et qui faisait largement le job, mais pour lequel j’ai rencontré des gros problèmes de performance sur des tablettes avec des versions Android assez vieilles (4.4, 5), ce qu’on trouve assez largement sur des anciens modèles. Et comme on ne peut pas mettre à jour la version d’Android, reste plus qu’à voir l’optimisation côté application.

J’ai donc pas mal parcouru de sites à la recherche de performance, puis de comparaison avec React Native de Facebook, qui avait une autre approche que Ionic, une sorte d’application hybride entre du code native et du code javascript.

Le problème que j’ai rencontré avec React Native, c’est le design, où il faut faire pas mal de CSS, adapter le peu de bibliothèques, problème qu’on a moins avec Ionic, qui a un grand panel de librairies déjà dessinées.

Et je suis tombé sur ce site qui fait le point sur les performances entre Ionic et React Native en comparant pas mal d’éléments.
Pour résumer, pour la performance c’est React Native, pour une application facile à prendre en main et rapide à faire, c’est Ionic. Mais comme dit au début, cela date, et maintenant il y a Flutter.

Contrôlez vos scripts

ShellCheck est un outil qui analyse, contrôle et vous indique les erreurs dans vos scripts shell bash/sh.

Très utile, les scripts shell étant interprétés et rédigé avec un simple éditeur de texte (vim ou VSCode et rien d’autre !), il est très difficile de corriger un script, à moins de l’exécuter, et encore pas toujours évident de savoir d’où vient l’erreur. Là votre code sera parcouru avec les bonnes indications.

Soit vous intégrez l’utilitaire dans votre éditeur de texte habituel, soit vous collez votre code sur le site https://www.shellcheck.net/.

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Google enterre

Et c’est le site The Google Cemetery qui recense les tristes défunts.

Site assez insolite qui liste les différentes applications que Google a créé puis arrêté le développement et la mise en ligne. On peut les retrouver par année et c’est là qu’on se rend compte que Google produit en masse un tas de composants, petits, et n’hésite pas à stopper de grands dans lesquels il a cru comme Google+.
Bref, mettre toutes vos données, informations en ligne ou dans des outils que vous ne maîtrisez pas, que vous ne contrôlez pas, et pour lesquels vous pouvez d’un moment à l’autre ne plus pouvoir utiliser.

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Les logiciels libres recommandés par l’Etat

En informatique, il est obligatoire de faire de la veille.
Notre secteur évolue constamment, et ne pas se tenir à jour est une erreur. Il permet d’améliorer ce qu’on a en place, ou corriger certains points.

L’Etat français fait cet exercice, et il est intéressant de le voir. Par la DINSIC, on peut avoir une liste de logiciels libres recommandés, plutôt à jour.
Si on n’a pas trop de temps pour faire des essais sur de multiples outils, on a ici une liste, et souvent judicieuse.
On trouve cette liste sur https://disic.github.io/sill/ et pour ici 2019.

Rien de très surprenant quand on se tient à jour, mais des fois, un rapide coup d’œil sur un sujet moins bien connu et on trouve ce qu’il faut.

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Apple ou l’obsolescence programmée

Qui ne connaît pas les Airpod ? Ces écouteurs sans-fils de la marque à la pomme.
Les écouteurs à la mode qu’il suffit d’attraper et de partir en courant pour en avoir des gratuits. Surtout qu’à ce prix-là…

Eh bien on apprend que leur durée de vie est aussi courte que la longueur de leur câble et ne dépasserait pas 18 mois, écologie quoi.
Quand on achète ce genre de matériel, il est bon de s’intéresser sur le long terme, quoique quand on achète ce genre de matériel, on peut peut-être se permettre de les remplacer tous les 18 mois.

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